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Date de publication : 03/01/2024

Riskcare reçoit l’oscar de la Fédération Française des Incendies (FFMI) dans la catégorie 'Management de la sécurité'

RiskCare reçoit l’oscar de la Fédération Française des Incendies (FFMI) dans la catégorie « Management de la sécurité »  

La cérémonie des Oscars 2023 de la sécurité incendie est venue clôturer l’événement spécial organisé par la Fédération française des métiers de l’incendie (FFMI) au Palais du Luxembourg, pour fêter ses 60 ans d’existence. 62 ans pour être exact, car le groupement professionnel a vu le jour en 1961, sous le nom de « Fédération française du matériel d’incendie ». L’épisode du Covid a contraint la fédération à repousser par deux fois la célébration de ce 60e anniversaire.

C’est Dominique Faure, la ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité, qui a remis les prestigieux Oscars aux quatre lauréats de l’année 2023, sous l’œil bienveillant de l’écosystème de la sécurité incendie rassemblé.

Voici une rapide présentation de RiskCare, l'un des 4 lauréats :  

Marc Espieux, directeur général de RiskCare, a reçu le prix de la catégorie 'Management' pour une plateforme digitale collaborative de gestion des risques auprès des industriels.

Oscar FFMI 2023.jpg

Le point de départ de cette plateforme digitale collaborative réside dans un constat : 48 % des événements industriels pourraient être évités, si l’on prenait en compte les signaux faibles (rapports de non-conformité, presqu’accidents…).

L’objectif est de co-construire la prévention des risques industriels (60 000 accidents/an, dont une vingtaine d’incendies par jour – chiffres de 2020) en rassemblant sur une même plateforme digitale les assureurs, les exploitants et les tiers (bureaux de contrôle,…). Cette plateforme, qui embarquera de l’intelligence artificielle afin de faciliter la gestion documentaire, permettra de déposer et suivre des documents réglementaires, de générer des indicateurs et de remonter des alertes.

L’idée est notamment de cibler les secteurs accidentogènes qui peinent à s’assurer, ainsi que toutes les PME et les ETI qui n’ont pas atteint une taille critique pour pouvoir organiser la prévention des risques de manière efficace.

 

Sources :